PORTRAIT | Xavier Machault ou l’art du pas de côté

© Pascale Collet

Qu’il chante ou qu’il joue la comédie, Xavier Machault aime la scène. Cet appétit-là saute aux yeux chez ce trentenaire à la carrière bigarrée. Pour étancher sa soif, il multiplie donc les projets, accompagné d’artistes de tous bords qui, comme lui, ont fait de Grenoble leur base.

Tout part de la scène. Qu’il pratique d’abord au lycée avec son groupe de rock. « À la mort de Kurt Cobain, j’ai pensé qu’il fallait bien que quelqu’un prenne la suite. », fait mine de nous confier Xavier Machault dans un rire...

(Article paru dans Vivre à Grenoble # 2)

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Rétrospective | Que va devenir le club de jazz grenoblois La Soupe aux Choux ?

© Pascale Collet

Trois décennies déjà pour La Soupe aux Choux, le mythique club de jazz grenoblois. Son plus haut fait d’armes ? Chet Baker en 1987 ! Mais la Soupe a aussi accueilli nombre de pointures du jazz à l’échelle locale comme nationale. En juillet 2016, une page va donc se tourner puisque Jacques Perez, le gérant du lieu, prend une retraite bien méritée. 

(Article paru dans le magazine Vivre à Grenoble # 2)

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Portrait | Qui est Antonio Placer, le nouveau directeur du Théâtre Sainte-Marie-d'en-Bas ?

Antonio Placer, directeur depuis septembre 2015 du « nouveau » Théâtre Sainte-Marie-d’en-Bas – rue Très-Cloîtres, dans le centre historique de Grenoble – est aussi, et surtout, poète, compositeur et chanteur. C’est donc en tant qu’artiste qu’il prend la tête de l’ancienne chapelle. L’occasion pour nous de tirer le portrait de ce Galicien du Dauphiné. Et pourquoi pas de dissiper le flou qui entoure sa personne.

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Portrait | Frédéric Giroutru, dit "LeSacripan"

Paru dans Vivre à Grenoble # 1


Voilà dix ans que le comédien Frédéric Giroutru, dit "Le Sacripan", a quitté le Conservatoire de Grenoble pour gagner la capitale. Pas carriériste pour un sou, pourtant, le trentenaire ! Et même plutôt hostile au goût du temps pour le vedettariat facile.

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Musique | Si oui, oui. Sinon non.

Albert Marcœur et le Quatuor Béla 

Se mettre dans les oreilles du Albert Marcœur, c’est fréquenter l’inouï, forcément. Le chanteur, compositeur, multi-instrumentiste – clarinettiste de formation – se joue des canons de la chanson de variété. Alors naturellement, le néophyte reste d’abord interdit. Et puis très vite – ou pas : personne n’est parfait –, il se découvre un goût pour le travail ciselé, la pièce vocale et instrumentale fignolée à souhait.